Editorial
Dispaux, Marie-France
En janvier 1999, nous avons brutalement perdu un ami et un collègue en la personne de James Innes-Smith. Deux ans après sa disparition, il laisse un grand vide dans notre Société où, depuis son arrivée en Belgique, il avait joué un rôle important comme président, puis président de la commission d'enseignement. Il a été aussi membre actif du Comité de rédaction de la Revue pendant de nombreuses années. Sur un plan international, il aurait dû prendre en mars 1999 la présidence de la Fédération Européenne de psychanalyse, elle aussi durement marquée par son absence. […]